Encore un de perdu, sans un, dix retrouvés
A peine connu déjà évaporé
Encore un en transit, encore un de passage
Encore un qui te quitte, tu tournes la page
Mais ton cœur mandarine, on l’épluche trop souvent
T’as des airs d’héroïne, d’un mauvais roman
Et tes princes d’opérette ainsi font, au fond
Trois petits tours de claquettes et puis s’en vont, et puis s’en vont
Si j’avais l’antidote, au chagrin d‘amour
Je te rendrais plus forte, pour que tu t’aimes un jour
Si j’avais l’antidote, à tes peines de cœur,
Je te rendrais plus forte, petite sœur
Car toi, tu es l’ile dont rêvent les marins
Cette reine fragile qui inspire l’écrivain
Toi, tu as séduit le plus grand dû des vents
Tu es celle qu’ont choisie les muses, les titans
Même si tu ne le vois pas tu es bien plus encore
ce n’est pas moi qui dit ça,
C’est le vent du nord
Alors ne laisse personne s’amuser avec toi,
Et si tu t’abandonnes, que ce soit pour un roi, que ce soit pour un roi
Si j’avais l’antidote, au chagrin d‘amour
Je te rendrais plus forte, pour que tu t’aimes un jour
Si j’avais l’antidote, à tes peines de cœur,
Je te rendrais plus forte, petite sœur
Allez viens, je t’emmène suivre le vent du nord
Au fil des éoliennes, de port en port
Allez viens, ne pleure pas, tu trouveras des trésors,
Cachés au fond de toi, tu n’as rien vu encore
Et, ton âme en détresse, dans la valse des aimés
que le vent la caresse
Et l’emporte, apaisée,
Que le vent lui apprenne la confiance et l’audace
Allez viens, je t’emmène, tu verras que tout passe,
Tu verras que tout passe
Si j’avais l’antidote, au chagrin d‘amour
Je te rendrais plus forte, pour que tu t’aimes un jour
Si j’avais l’antidote, à tes peines de cœur,
Je te rendrais plus forte, petite sœur
Pont (tadada)
Si j’avais l’antidote, au chagrin d‘amour
Je te rendrais plus forte, petite sœur